Paris, 1934. Devant Notre-Dame une poursuite s’engage au milieu de la foule. Le jeune Vango doit fuir. Fuir la police qui l’accuse, fuir les forces mystérieuses qui le traquent. Vango ne sait pas qui il est. Son passé cache de lourds secrets. Des îles siciliennes aux brouillards de l’Ecosse, tandis qu’enfle le bruit de la guerre, Vango cherche sa vérité. Un héros inoubliable et romantique, une aventure haletante, envoûtante, empreinte d’humour et de poésie.
Critique :
Ca y’est, le moment tant redouté est arrivé : j’ai fini la 370ème et dernière page de Vango. Je dois dire au revoir à tout ces personnages atypiques et attachants que j’ai rencontré pendant mon voyage. J’écris voyage car il s’agit en effet d’un voyage à travers le monde de l’entre guerres. Un voyage des Iles Éoliennes à la brume de l’Écosse passant par l’Allemagne à l’arrivée d’Hitler. Pendant ce voyage je n’étais pas seul, j’ai rencontré un jeune homme génial, Vango, que j’ai du quitter, à contre-cœur. Parlons de lui justement. Au premier chapitre, il a 19 ans, s’apprête à être ordonner prêtre quand la police sème le trouble. Vango est meurtrier selon leurs dire. Dès lors, il est fugitif. Il commence alors un périple où il tentera de retrouver les pièces d’un puzzle qui semble impossible à résoudre, tant pour lui que pour nous. Parmi ces pièces,il y a cette galerie de personnages typiques, attachants, uniques qui n’ont qu’un nom à la bouche « Vango ». Certains le cherchent pour l’inculper, d’autre pour le protéger, d’autre l’attendent sans espoir. La poésie sublime de ce livre donne à son histoire une richesse magnifique.
Vous l’aurez compris, Vango est une ode à la liberté magnifique. Et quand on sait qu’une suite est prévue, on ne peut qu’être comblé !
me prevenir lorsque la suite sortira je suis restée un peu sur ma faim
avec vango que j’ai beaucoup aimée et qui ce lit facilement