Résumé: Quatrième volet d’une série-culte, L’accro du shopping a une sœur marque le retour de Becky, cette fois confrontée à une drôle de nouvelle… Après un long voyage de noces, le retour à Londres est difficile pour Becky Bloomwood-Brandon : pas de boulot, un budget sous haute surveillance, un mari débordé, une meilleure amie occupée ailleurs, des parents en pleine psychothérapie… Plus une surprise de choc : Becky découvre qu’elle a une sœur, née des amours prénuptiales de son père. Et quelle sœur ! Radine comme un pou, gaie comme une porte de prison, pas féminine pour deux pence, Jess déteste les fringues, le maquillage et le chocolat. Et, surtout, elle a une sainte horreur du shopping ! Finie la belle vie ? Envolés les rêves d’entente familiale ? Terminé le lèche-vitrines ? C’est mal connaître la plus attachante des fashionatas, qui, une fois encore, a plus d’un tour dans ses sacs…
Mon avis: Je suis ravie d’avoir retrouvée Becky Bloomwood pour cette nouvelle aventure pleines de shopping, d’humour et d’amour !!
Becky Bloomwood est toujours aussi exubérante et dépensière !! Elle se retrouve confrontée à une personne qui est tout son contraire, sa sœur !! Et oui grande révélation de ce tome !!
Becky réussit à mettre en danger son couple, à ne plus parler à sa meilleure amie et à ce que sa sœur la déteste!! Mais sont -elles aussi différentes que ça?
Je suis décidément accro de cette accro du shopping et je ne me lasse de lire ses aventures même au bout de 4 tomes !!
Becky est toujours aussi énervante, immature et irresponsable mais elle grandit grâce à ses erreurs et aux gens qui l’entourent!!
Encore un tome que je conseille vivement!!
J’ai hâte de lire les autres puisque le personnage de sa soeur devient un personnage récurrent, j’ai hâte de voir ce que ça va donner!!
C’est vrai que la soeur de Becky est tout son contraire, on s’imagine qu’elle ne pourront jamais s’entendre et pourtant… Je pense que la rencontre avec cette soeur qu’elle ne connaît pas va lui faire beaucoup de bien.
J’ai beaucoup aimé celui-ci (comme les autres d’ailleurs).