Biographie de l’auteur: Paulo Coelho (né le 24 août 1947 à Rio de Janeiro) est un romancier et un interprète brésilien. Il a acquis une renommée internationale avec la publication de L’Alchimiste, vendu à 65 millions d’exemplaires, en 56 langues (chiffres de 2008).
Paulo Coelho est né à Rio de Janeiro, d’un père ingénieur appartenant à la classe moyenne brésilienne. Il fréquente l’école jésuite de San Ignacio, et se forge rapidement une âme rebelle sous le carcan austère de l’éducation des Pères. Ses parents le veulent ingénieur, Paulo aime le théâtre. Quand il annonce à sa mère qu’il souhaite devenir écrivain, sa mère lui répond : « Mon chéri, ton père est un ingénieur. C’est un homme raisonnable et logique avec une vision très nette du monde. Sais-tu exactement ce qu’est un écrivain ? ». Après quelques recherches, Paolo découvre qu’un écrivain « porte toujours des lunettes et ne se coiffe jamais » et a le devoir « de ne jamais être compris par sa génération ».
Introverti et rebelle, il s’oppose au chemin tracé par ses parents. Son père, désemparé par cet enfant difficile, le fait interner dans un hôpital psychiatrique alors qu’il n’avait que dix-sept ans. Il s’en est échappé 3 fois avant d’être relâché à l’age de 20 ans. Paolo dit à ce sujet « Ils n’ont pas fait ça pour me faire souffrir… mais ils ne savaient pas quoi faire. Il n’ont pas fait ça pour me détruire, ils ont fait ça pour me sauver ». Bien des années plus tard, l’écrivain puisera dans cette expérience pénible le matériau de son roman Veronika décide de mourir.
Pour faire plaisir à ses parents, Paulo décide de suivre des études de droit et met de côté son rêve de devenir écrivain. Mais il abandonne tout un an plus tard.
Les années 1960 voient l’explosion internationale du mouvement hippie. Paulo y souscrit, ainsi qu’à tous ses excès. A l’age de 23 ans, il abandonne sa ville natale pour voyager à travers le Mexique, le Pérou, la Bolivie et le Chili, ainsi qu’à travers l’Europe et l’Afrique du Nord. Deux ans plus tard, il revient au Brésil et commence à composer des paroles de chansons populaires, travaillant avec des musiciens tels que Raul Seixas. Leur association est un succès, et leur collaboration contribue à changer le visage de la scène rock brésilienne. Coelho s’est réconcilié avec la confession catholique en rencontrant sa femme Cristina, artiste peintre.
Il est brièvement emprisonné en 1974 sous le prétexte d’avoir commis des gestes subversifs contre la dictature brésilienne. Après cette expérience, Paulo Coelho aspire à une vie ordinaire. Il est alors journaliste spécialisé dans la musique brésilienne, puis il travaille chez Polygram et rencontre sa première épouse. Cet épisode de « normalité » ne dure que quelques années. En 1978, il quitte sa femme et son travail.
Son questionnement spirituel l’amène à participer à bien des expériences, y compris des rituels de magie noire. Sur le chemin du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, il trouve l’inspiration de son premier livre Le Pèlerin de Compostelle en 1987 mais qui ne sera exporté que 10 ans plus tard. Dans une interview il raconte : « J’étais très heureux dans ce que je faisais. Je faisais quelque chose qui me donnait nourriture et eau. Je travaillais, j’avais une personne que j’aimais à mes côtés, j’avais de l’argent. Mais je ne vivais pas mon rêve. Mon rêve était, et l’est toujours, de devenir écrivain. » Il laisse tomber sa carrière d’interprète pour se consacrer entièrement aux livres.
Il habite à Rio de Janeiro ou à Saint-Martin dans les Hautes-Pyrénées en France, en dehors des périodes où il voyage pour promouvoir son œuvre. Il consacre une partie de ses revenus à sa fondation qui s’occupe de jeunes et de personnes âgées délaissées à Rio.
Résumé: Nous avons parfois besoin de retrouver un sens à notre vie, de lui redonner souffle et équilibre.
Et si un livre avait le pouvoir de vous faire découvrir un monde nouveau ? Et si, grâce à la magie des mots et d’une histoire, vous commenciez un nouveau chapitre de votre vie ? Aleph est ce livre. Aleph est un voyage qui pourrait bien changer votre existence.
Mon avis: Après avoir lu l’Alchimiste, ma curiosité envers cet auteur était au maximum, j’ai lu d’autres livres de lui depuis comme Véronika décide de mourir ou Le démon et Mademoiselle Prym que j’ai beaucoup aimé aussi, puis ma liesse est retombée quand j’ai essayé de lire Onze minutes, je n’ai pas réussi à la finir peut être n’étais-je pas dans de bonnes conditions pour le lire.
Quand mon mari m’a offert Aleph pour mon anniversaire et a insisté pour que je le lise vite, j’avais un peu peur, cependant non seulement j’ai réussi à lire et le finir mais en plus il m’a plu!! pas complètement tout de même !
Comme dans beaucoup de livres de Paulo Coelho, c’est une quête spirituelle, un voyage aussi bien vers d’autres pays que dans notre conscience et ça j’apprécie à chaque fois, j’ai beaucoup aimé cette recherche de la vérité sur soi, savoir qui ont est et qui on a été !!
Toutefois, Paulo Coelho part trop dans le mysticisme, le culte de la magie et ça j’ai pas accroché du tout!!
J’ai beaucoup aimé aussi ce voyage à travers la Russie dans le Transsibérien, ça donne envie
Dans l’ensemble c’est un livre que j’ai aimé mais Paulo Coelho doit se lire avec modération car une overdose est vite arrivée!!!
Ça faisait longtemps que j’avais pas lu un de ses livres mais je vais attendre avantd’en relire un!!!
Toutefois, Paulo Coelho part trop dans le mysticisme, le culte de la magie et ça j’ai pas accroché du tout!!
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C’est justement ce que j’aime dans ces écrits, même si c’est à lire avec modération, comme tu le dis si bien 😉