Le Cricket Club des talibans de Timeri N. Murari

Quatrième de couverture Quelques mètres de tissu, lisse, fragile et souple, d’un bleu clair métallique, devinrent notre prison… Je disparus, comme d’un coup de baguette magique. Je n’étais plus Rukhsana avec un nez bien à moi, une bouche, des yeux, un front, un menton, des cheveux, mais un linceul vivant, identique à toutes les autres …