Sang d’Irah de Claire Panier-Alix

Résumé :

Le valeureux prince d’Irah en proie aux tourments de la guerre et de l’amour.
Sur l’île Nopalep’am Brode, « La Terre des Hommes » dans le langage des Anciens, les enjeux politiques étaient fort simples : au nord, les Kurstanais, l’Empire des Trolls lycanthropes… et au sud, le désert sacré des Hommes-Dieux d’Orkaz, tous deux malmenés par des climats extrêmes et victimes des incessantes agressions des troupes de la reine de Nicée, Maryanor.

Le jour où le prince Duncan d’Irah se rend à Mosquir à l’appel de la reine de Nicée, il ne sait pas encore qu’elle est la cause des invasions qui ravagent leurs royaumes respectifs. Encore moins qu’il va se retrouver entraîné dans un torrent d’aventures aux multiples rebondissements où se jouent tout à la fois son destin et celui de l’île

Amitié, amour, manipulations politiques, trahisons, faits d’armes : Sang d’Irah plonge le lecteur au cœur d’une fresque épique dans la plus pure tradition du genre.

Mon avis :

Tout d’abord je voudrai remercier les éditions « Le Pré aux clercs » ainsi que Livraddict pour m’avoir permise de participer à ce partenariat.

Mon avis est mitigé sur cette lecture mais plus positive que négative.

En premier lieu je dirai qu’il m’a été difficile de me plonger dans l’histoire du moins dans la première partie du livre. J’ai rencontré quelques difficultés au niveau des noms des personnages et des contrées ainsi que quelques petits problèmes de compréhension de vocabulaire mais cela n’a pas duré. Et on s’habitue à tous ces noms.

En effet à partir de la deuxième partie tout s’enchaine très bien, les descriptions sont complètes tant au niveau des personnages que des actions. Ce qui permet de se plonger enfin dans l’histoire et savourer pleinement ce roman de fantasy.

Quand à la troisième partie c’est le moment du livre que j’ai préféré. De l’action et du changement sont au rendez vous. Cette partie m’a permis de m’attacher à un personnage en particulier : Sail Homme-Dieu d’Orkaz. On voit enfin se développer le personnage de Talmont apparu au début du livre sans vraiment savoir ce qu’il allait apporter à l’histoire et on y voit surtout le changement de personnalité de la reine Maryanor. Ce qui m’a fait détester ce personnage.

La dernière partie est très belle, je l’ai très bien aimée. On a enfin la paix sur cette île-continent de Nopalep. Et le calme fait du bien. Elle est aussi émouvante et elle m’a vu verser une petite larme lors des dernières pages.

Ce livre est rempli de référence à la chevalerie, au moyen âge et se n’est en rien dérangeant. J’ai aussi beaucoup aimé le fait que ce petit continent est caché dans notre monde vivant alors à l’époque de Louis  13 (1er moitié du 17e siècle).

En résumé : ce livre m’a bien plus par ses actions, les personnages attachants ou au contraire détestables, ses émotions même si il m’a été dure de me plonger dans l’histoire.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.