Les vies de papier de Rabih Alameddine

Aaliya, Libanaise de 72 printemps, a pris l’habitude depuis 50 ans d’accomplir un rituel sacré : tous les 1er de l’an, elle entame la traduction d’un roman selon des règles bien précises. De nature solitaire, elle a toujours refusé les carcans de la société libanaise et vit hors des conventions : pour preuve, elle a …