La Confrérie de la Dague Noire, tome 1 : L’amant ténébreux de JR Ward

4ème de couverture:
Une guerre dont les humains ignorent tout fait rage. Des vampires – six guerriers regroupés au sein de la mystérieuse Confrérie de la Dague noire – protègent leur espèce contre la Société des éradiqueurs. À la tête de la Confrérie, Kohler, leader charismatique et implacable…

Quand l’un de ses plus fidèles guerriers est assassiné, laissant orpheline une magnifique jeune femme, une sang-mêlée, qui ignore tout de son destin, c’est à Kohler qu’il incombe de lui faire découvrir ce monde mystérieux qui sera désormais le sien…

J’ai lu ce livre dans le cadre d’un partenariat entre Livraddict et les éditions Bragelonne/Milady. J’ai postulé pour recevoir la trilogie de la Confrérie de la Dague Noire car le résumé m’a intriguée. Une guerre ignorée des humains? Intéressant… Ce qui m’a le plus attirée, c’est la seconde partie du résumé, en la lisant, je me suis dit que l’histoire allait être lancée relativement vite (je préfère cela à une intrigue qui met trop de temps à s’installer…). Et comme j’aime la Bit/Lit, je me suis dit que ce partenariat allait me plaire.

Et, à peine sortie du premier tome, mon avis est mitigé. L’intrigue est bien tournée, les personnages attachants, avec leur part de mystère qui les rend plus attirants encore et j’ai été tenue en haleine tout au long des 559 pages. Cependant, les scènes sexuelles m’ont parues trop nombreuses et extrêmement agaçantes car elles ne font, à mon goût, pas avancer l’histoire et donc sont inutiles (toujours selon moi). Les 2 personnages principaux s’aiment, tant mieux pour eux mais nous ne sommes pas obligés de lire des scènes dignes de littérature érotique…

Ce que j’ai aimé dans le roman a tout d’abord été la vitesse à laquelle est lancée l’histoire. En effet, au bout d’une vingtaine de pages (pour faire assez large), j’étais transportée à Caldwell au beau milieu de cette bataille entre les éradiqueurs, humains qui ont vendu leur âme à l’Oméga et ne vivent que pour assassiner des vampires pour éliminer leur race; et les membres de la Confrérie de la Dague Noire, 6 vampires surpuissants ayant juré de protéger les « civils » et qui pour cela combattent les éradiqueurs.

A part cela, j’ai aimé l’approche qu’a eu l’auteur concernant les vampires. En effet, ceux-ci boivent le sang de leurs congénères pour se nourrir de temps en temps mais la plupart du temps mangent également normalement et ne s’attaquent pour ainsi dire jamais (sauf exceptions) aux humains qui ont un sang qui leur fournit beaucoup moins de puissance; la seule chose qui peut les comparer aux vampires de légende (bien que chaque légende soit différente) est le fait qu’ils ne peuvent entrer en contact avec la lumière du soleil (sauf ceux qui sont à moitié humains). Cette société vampire a également ses codes (concernant le mariage notamment).

L’intrigue m’a tenue en haleine tout au long du livre grâce à ses rebondissements fréquents. Cependant, un autre point m’a chiffonnée, la transformation de Beth qui semble être ultra risquée si on en croit le début du livre et qui au final parait beaucoup plus facile que prévue.

Bilan mitigé, mais il me tarde de commencer le second tome dont j’ai déjà lu un chapitre (celui qui est dans le premier tome pour donner envie au lecteur et ça fonctionne)…

Merci beaucoup à Livr@ddict et à Bragelonne/Milady pour cette découverte

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