Dans la petite ville provençale de Tarascon, Tartarin est un Personnage, grand collectionneur d’armes, un véritable héros… en chambre ! Mais ses admirateurs le pressent sans relâche : l’Afrique, le » pays des lions « , voilà la destination obligée pour un aussi valeureux chasseur. Tartarin finit par s’embarquer – à regrets – pour l’Algérie, dans l’espoir de débusquer le fauve mythique…
Un des textes les plus drôles de la littérature française.
Après trois longues années dans ma PaL (un cadeau de ma mère que je n’avais, jusque là, pas eu l’envie d’ouvrir) je me suis enfin mise à la lecture de Tartarin de Tarascon, contrainte et forcée que j’étais à honorer ma participation au Défi du livre qui dort de Florel. Déjà ce livre avait un désavantage : l’édition Librio : on en a pour notre argent, c’est-à-dire pas grand-chose, avec des fautes d’orthographe en prime =s Passé ce détail, j’ai apprécié le fait que les chapitres soient courts. Je préfère.
La première partie est celle qui m’a le moins passionnée. Les deux autres étaient d’avantage mouvementées et j’ai été happée par l’action autant que faire se peut. Le ton décalé voire ironique, toujours drôle m’a séduite, et c’est avec étonnement que je peux vous annoncer que, contre toute attente, j’ai apprécié cette lecture !
Le personnage de Tartarin m’a séduite par sa maladresse et sa naïveté. Son côté quasi enfantin était très attachant. Je suis très heureuse de compter désormais Tartarin-Sancho et Tartarin-Quichotte parmi mes amis livresques.