La Nuit de l’Oracle de Paul Auster

La nuit de l'oracleRésumé

Après un long séjour à l’hôpital, l’écrivain Sidney Orr est de retour chez lui. Toujours aussi amoureux de sa femme Grace, il reprend lentement goût à la vie. Mais il est accablé par l’ampleur de ses dettes et par l’angoisse de ne plus jamais retrouver l’inspiration. Un matin, alors qu’il fait quelques pas dans son quartier, il découvre une toute nouvelle papeterie, au charme irrésistible. Sidney entre, attiré par un étrange carnet bleu. Le soir même, presque dans un état second, Sidney commence à écrire dans le carnet une captivante histoire qui dépasse vite ses espérances. Sans qu’il devine où elle va le conduire. Ni que le réel lui réserve de plus dangereuses surprises… Virtuosité, puissance narrative, défi réciproque de l’improvisation et de la maîtrise, La Nuit de l’oracle précipite le lecteur au cœur des obsessions austériennes, dans un face à face entre fiction et destin. Comme si l’imaginaire n’était rien d’autre que le déroulement du temps avant la mort. Ou pire encore, son origine.

La forme

La version que j’ai lue a été publiée chez Actes Sud. J’aime beaucoup tout ce que fait cette maison d’édition et encore plus quand il s’agit de littérature étrangère. Assez simple  à prendre en main, une écriture parfaitement proportionnée mais malheureusement, aucun chapitre défini du début à la fin. J’aime avoir des chapitres pour pouvoir couper ma lecture ou pour retrouver des éléments sur lesquels je suis passé rapidement.

Le  fond

C’est le premier ouvrage de Paul Auster que je lis et pourtant j’en ai un bon nombre qui dorment dans ma PAL. Je ne vais passer par aucun détour pour dire que j’ai adoré ce livre. Et ce pour plusieurs points. Tout d’abord, l’histoire de cet écrivain miraculé qui essaye de revenir à sa passion littéraire tout en conduisant sa vie de couple est une histoire simple dans la narration mais cette simplicité demande une technique et une maîtrise du fil encore plus importante. Je me suis plongé dans le sillage de Sid Orr pour vivre sa vie au ralenti. Pendant ce temps-là, tout autour de lui semble aller trop vite et je me suis retrouvé plusieurs fois perdu dans une excellente sensation de lâcher prise.

Dans un second temps, ce qui m’a fortement plu c’est l’histoire dans l’histoire. En effet notre héros essaye de reprendre l’écriture dans un petit carnet bleu (peut être le vrai personnage principal de l’histoire) et pour ce, il écrit une histoire sur conseil d’un ami. Cette mise en abyme littéraire donne un sens toujours plus fort à la relation qu’entretien Sid avec les quelques autres personnages qui déambulent autour de lui. La finalité de son écriture ne peut être dissertée ici pour risque de « spoiler », mais cela a été aussi inattendu que relativisant pour moi et pour ma lecture globale.

Finalement, le style de l’auteur me convient parfaitement et c’est pour cela que j’ai décidé de continuer dans la bibliographie de Paul Auster pour découvrir toujours cet univers avec Léviathan. J’aime à lire des histoires d’écrivains qu’ils soient en panne d’inspiration ou en pleine rédaction, ces histoires me fascinent et Paul Auster va pour l’instant totalement dans mon sens de lecture.

Meurtre au champagne d’Agatha Christie

Meurtre au champagneQuatrième de couverture

Elle avait bien de la chance, Rosemary. Tout semblait lui sourire. Très belle et très riche, elle voguait de cocktails en bridges, de dîners en bals avec la grâce d’une princesse. Ajoutés à cela nue nuée d’admirateurs, un mari effacé et un amant fougueux, elle pouvait s’estimer comblée. Pas une ombre au tableau. Même sa mort était restée dans la note. Mondaine jusqu’au bout, Rosemary s’était écroulée dans un restaurant de luxe, une flûte de champagne à la main, tandis que jouait l’orchestre.
Voilà qui ne manque pas de panache. Même si le cyanure gâte un peu le teint…

Mon avis

Dès le début, le style de langage m’a dérangée. Pour un roman publié au milieu des années 1940, il m’a semblé très guindé: des « chérie » en veux-tu en voilà qui rappellent les romances du XIXe siècle et ont tendance à agacer les cœurs de pierre. Même en étant habituée au style parfois surfait d’Agatha Christie, j’ai trouvé ce romantisme inapproprié et légèrement pesant dans ce roman.

Le récit est divisé en trois parties. La première nous présente un à un les personnages et leurs sentiments envers Rosemary. Si je ne devais en retenir qu’un seul, ce serait définitivement Lucilla Drake, la tante d’Iris et de Rosemary. Personnage secondaire certes, cette véritable commère faisant preuve d’une logique bien à elle m’a souvent fait sourire. Il s’agit-là d’une vieille dame comme on en rencontre dans chaque famille et c’est sans doute ce qui la rend si sympathique.

La seconde partie se penche sur l’idée saugrenue de Georges de reconstruire la soirée de la mort de sa femme en invitant les mêmes convives dans le même restaurant que l’année précédente et ce, à la Toussaint, le jour des morts. Cependant, cette soirée ne se déroulera pas comme il l’avait prévu…

La troisième et dernière partie du roman est consacrée à l’enquête à proprement parler, menée entre autres par le Colonel Race, habitué des romans d’Agatha Christie. On l’avait déjà rencontré dans Mort sur Nil au côté d’Hercule Poirot par exemple. Malgré les différentes pistes avancées, le dénouement reste en partie prévisible. On ne retrouve ici aucun retournement de situation digne de l’auteure, ce qui est bien dommage.

Dans l’ensemble ce fut une lecture agréable mais sans plus. Mrs. Christie nous a habitués à de bien meilleures enquêtes.

Découvrez les coulisses de Livraddict ! Chapitre 5

A l’occasion du cinquième anniversaire de Livraddict, nous vous avions proposé de poser toutes vos questions à l’équipe du site. Etant donné qu’elles furent nombreuses, nous y répondons dans une série d’articles sur ce blog. Vous allez tout savoir sur les coulisses de notre site !

 

images 8Question : comment est né l’idée du site ? et D’où vient Livraddict? D’un désir commun de plusieurs mordus de lecture? et  Qui a eu l’idée de créer ce site ? Comment cela est venue etc.

Réponse de la Team Livraddict :

Le site est une idée de Jess et sa naissance est expliquée en détails dans cet article, le mieux est de le lire pour tout savoir !

 

Question : Comment a été construit la toute première version de Livraddict ? Est-ce que Jess avait déjà une idée de quoi elle voulait que ca ait l’air ou est-ce Baba qui s’est fié à son imagination ?

Réponse de la Team Livraddict :

Pour ce qui est de l’aspect du site, c’est surtout Baba qui crée une version bêta que la Team a l’occasion de commenter avant qu’elle ne devienne réalité. Comme vous pouvez le voir ici, le design a beaucoup évolué au fil du temps !

 

Question : Comment les « grandes » maisons d’édition réagissent-elles à vos sollicitations en matière de partenariat?  Y en a-t–il qui manquent à votre tableau de chasse? Faut-il insister pour trouver les partenaires?

Réponse de la Team Livraddict :

Les « grandes » maisons d’édition sont celles qui nous ont soutenu en premier, notamment le Livre de Poche qui nous a fait confiance dès le début du site !  Au fil du temps, les pratiques de partenariat et de services presse ont changé, certains partenaires préfèrent contacter directement les blogueurs qui les intéressent, d’autres nous ont rejoint. Nous sollicitons les maisons d’édition qui nous semblent correspondre particulièrement aux goûts de nos membres, mais c’est de moins en moins nécessaire : nous avons une série de maisons d’éditions partenaires fidèles, nous utilisons nos propres contacts (notamment ceux créés via nos blogs) et nous répondons aux propositions d’auteurs ou de maisons d’éditions qui nous contactent eux-même. Les partenariats servent aussi à vous faire découvrir des maisons d’éditions moins connues !

 

Question : Avez-vous déjà été approchés par d’autres sites qui disposent d’un financement substantiel (car liés à de grandes librairies par exemple) pour proposer de réunir vos forces?

Réponse de la Team Livraddict :

Nous avons reçu des propositions de librairies en ligne, mais comme nous avons déjà une boutique Amazon, nous n’avons pas accepté de nouveaux partenaires. Nous tenons aussi à garder le site le plus international possible et nous ne pouvons pas nous associer à un site qui ne livrerait qu’en France, par exemple, car beaucoup de membres viennent d’autres pays. Quant aux sites concernant la lecture, nous n’avons pas de liens particuliers ; chacun a son rôle, sa communauté et son mode de fonctionnement, nous ne sommes ni partenaires ni concurrents.

 

Question : Est-ce qu’il y a entre vous un système de roulement pour gérer le site?

Réponse de la Team Livraddict :

Oui et non ; chacune des trois équipes (la Team, les modérateurs et les correcteurs) s’arrangent pour que le travail soit fait à tout moment. Nous sommes tous bénévoles, ça signifie que nous avons tous une activité professionnelle en-dehors de la gestion du site et nous considérons tous nos fonctions sur Livraddict comme un hobby. Quant l’un ou l’autre n’est pas disponible ou a tout simplement moins de temps ou moins l’envie de le consacrer au site, il/elle le signale et les autres membres de l’équipe reprennent le flambeau. Nous faisons en sorte qu’il y ait assez de membres dans chaque équipe pour que ce soit possible sans problèmes.

 

Question : Qui s’occupe du design du site? Qui a eu l’idée du logo? et qui gère toute la mise en page…

Réponse de la Team Livraddict :

Le design du site est globablement géré par Baba, le webmaster, mais nous avons une graphiste, Tessa, qui dessine les logos, signatures, bannières et autres en fonction de ce qui est nécessaire.

 

Question : Quelles sont les nouveautés ou améliorations sur lesquelles travaille l’équipe actuellement?

Réponse de la Team Livraddict :

Ah ah, en voilà une question qu’elle est bonne ! Pour le moment nous venons de lancer le Prix Livraddict qui est déjà une belle nouveauté. Il y a aussi une refonte de la page d’accueil prévue pour… dans quelques temps !  Et si vous avez la moindre idée de nouvelle activité ou projet à nous soumettre, n’hésitez pas, c’est par là !

Heureux les heureux de Yasmina Reza

Heureux les heureuxUn grand merci à Livraddict et à Folio pour l’opportunité de lire Heureux les heureux, de Yasmina Reza.

Présentation de l’éditeur :

« J’ai commencé à éprouver un sentiment, je veux dire un vrai, à ce moment-là. En sortant de la voiture, à Wandermines, sous la pluie. On ne parle pas assez de l’influence des lieux sur l’affect. Certaines nostalgies remontent à la surface sans prévenir. Les êtres changent de nature, comme dans les contes. Au milieu de cette confrérie en habits du dimanche, se pressant vers la mairie pour échapper aux gouttes, tenant le bras d’Odile pour l’aider sur le parvis glissant, j’ai éprouvé la catastrophe du sentiment ». Glissant de la mélancolie à l’humour, Yasmina Reza dessine avec Heureux les heureux une constellation moderne de personnages confrontés à l’impasse sentimentale. »

Mon avis :

Heureux les heureux est la première œuvre non théâtrale de Yasmina Reza qui me passe dans les mains. Il s’agit d’un recueil de récits courts centrés sur des moments de vie et racontés à la première personne par des personnages qui se croiseront les uns les autres dans diverses situations, parce qu’ils sont amis, amants, époux, etc.

On pourrait saluer la justesse des dialogues, toujours pertinents, toujours vraisemblables et l’immense talent de dramaturge de Yasmina Reza.
On pourrait saluer le tour de force qui consiste à se glisser élégamment dans la peau d’hommes et de femmes de tous âges et professions et de parvenir à prendre la parole en leur nom avec une efficacité égale.

On pourrait saluer la finesse de la forme, chapitres ultra-courts, phrasé sec, percutant, absence de fioritures, cruauté.
On pourrait saluer la grande richesse des personnages, jamais simples mais toujours  abordables même lorsqu’ils sont aux antipodes de ce qu’est le lecteur en termes de genre, d’âge et de milieu social.

On pourrait. On reconnaîtrait ainsi à Yasmina Reza le talent qu’elle déploie dans cette œuvre virtuose, véritable diamant à multiples facettes.

Mais ce serait passer sous silence l’intérêt fondamental de ce texte, qui se lit non avec la tête mais avec les tripes. Sans cesse, j’ai été ébahie, soufflée, émue par ces personnages cabossés, en crise, qui mettent entre eux et la réalité le bel écran que l’on sait tous déployer pour ne pas voir ce que l’on refuse d’admettre. Que l’on se soit déjà impuissant, bafoué, insatisfait, cynique, résigné, humilié, trahi, désespéré, amer, on se reconnaîtra forcément, une ou plusieurs fois, dans cette galerie d’instantanés qui met en scène les rapports de force, affichés ou dissimulés, qui structurent les relations entre les êtres.

J’ai été soufflée, bluffée par ce texte court dont je veux saluer avant tout la grande puissance et la grande richesse émotionnelle.

Découvrez les coulisses de Livraddict ! Chapitre 4

A l’occasion du cinquième anniversaire de Livraddict, nous vous avions proposé de poser toutes vos questions à l’équipe du site. Etant donné qu’elles furent nombreuses, nous y répondons dans une série d’articles sur ce blog. Vous allez tout savoir sur les coulisses de notre site !

 

images 6Question : Comment se sont formées les règles pour la bibliomania au tout début? Vous êtes-vous basés sur des règles de catalogages que vous avez simplifiées pour les membres de Livraddict? La question me trotte dans la tête depuis que j’ai commencé ce boulot (C’est peut-être idiot comme question en fait mais ce n’est pas grave)

Réponse de l’équipe Bibliomania (représentée par Taliesin):

Non ce n’est pas idiot comme question. Les premières règles sont le fait de Jess. C’est elle qui a décidé que toutes les éditions d’un même livre seraient sur une même fiche, c’est d’ailleurs probablement la règle première qu’elle nous a donné, la règle qui est à l’origine de la BBM je crois. Elle me corrigera si je me trompe, mais je crois me souvenir qu’elle n’était pas satisfaite de la manière dont étaient organisés les autres sites avec des « bibliothèques virtuels » qui bien souvent voient les éditions rentrées « au petit bonheur la chance » si je peux dire. Elle voulait que sur la BBM on puisse voir rapidement le livre que l’on cherche, et aujourd’hui il me semble que c’est le cas dans 90% des cas (certains livres, certaines éditions sont plus compliqués et se retrouvent donc parfois  sur des fiches à part).

La règle suivante a probablement été la forme des titres, et plus spécialement des titres de séries.
La question s’est posée de savoir comment on allait mettre ça :
– tout en majuscules ou non, les écrire comme sur les couvertures (mais on s’est rapidement rendu compte que d’une édition à l’autre, ils n’étaient pas forcément tous écrits de la même manière)
– garder les différents « livres, volumes, tomes… » ou ne garder qu’un seul terme,
– comment écrire celui-ci : avec majuscule ou sans,
– comment séparer le nom de série du nom de volume,
– comment écrire le numéro de tome : en lettres ou en chiffres,
– et dans ce cas-là en chiffres classiques ou en chiffres romains…
La question suivante a été les noms d’auteurs, là aussi fallait-il tout écrire en majuscules, ou bien seulement le nom, ou juste des majuscules en début de nom et de prénom…

Je crois qu’au départ il n’y avait que ces trois règles, ça semblait suffire, mais au fur et à mesure des nouvelles entrées dans la BBM et avec la croissance du site, il n’était plus vraiment envisageable de passer son temps à demander à Jess comment faire. Il y a donc eu la mise en place d’une équipe de correcteurs (Merkillia et moi seulement au tout début, très vite rejoints par nyméria puis ensuite par toutes les autres au fur et à mesure) qui aurait pour tâche exclusive de corriger les erreurs sur les fiches. Fort logiquement donc, du moins ça  nous a semblé logique et personne n’a objecté, nous avons dû trouver et inventer de nouvelles règles pour les nouvelles choses que nous rencontrions :
– un slash pour séparer les titres multiples pour un même livre,
– des fiches différentes pour des livres presque identiques mais au contenu légèrement différent
– l’utilisation de « book » pour les titres VO de mangas
– une fiche auteur différente pour chaque pseudonyme utilisé par un auteur
– la création de l’auteur « Collectif » à utiliser pour les livres ayant plus de 4 auteurs et les conditions de son utilisation
– mettre « 01, 02, 03… » pour les séries de plus de 10 tomes
Et ainsi de suite jusqu’à obtenir l’ensemble des règles que l’on a maintenant et qui semblent apparemment être suffisantes…

 

Question : Il y a-t-il des professionnels de la diffusion de l’information parmi vous (documentaliste, bibliothécaire ou autre)? Si oui est-ce que cela influence votre façon de gérer les fiches ou non?

Réponse de l’équipe Bibliomania (représentée par Taliesin):

Personnellement j’ai effectivement une formation pour travailler en bibliothèque, et il me semble qu’une ou plusieurs correctrices sont bibliothécaires (je ne sais plus qui, elles me pardonneront j’espère dft011).

Est-ce que ça influence ? Pas tant que ça en fin de compte, parce que nos règles sont assez différentes des règles qu’on utilise pour cataloguer les livres en bibliothèque… La seule chose qui je pense a vraiment influencé c’est pour la façon de rentrer les noms d’auteurs, avec le rejet de la particule pour les auteurs qui en possèdent une (bon dans notre cas en fait on la met avec le prénom pour que lorsqu’on soit sur la fiche auteur ou la fiche d’un livre ça s’affiche correctement) et la façon de rentrer les noms d’auteurs étrangers qui suivent les règles de catalogage.

 

Question : Comment se gère Livraddict ? Je veux dire, ca ne doit pas être forcément le même fonctionnement que les forumactif et forum RPG ? Je veux dire, nous on voit la surface, le site, mais derrière tout ça, comment ca fonctionne ? Il doit avoir des codes ? Est-ce que c’est compliqué ? On peut avoir un petit exemple ?

Réponse de notre webmaster, Baba :

Pour qu’un site fonctionne, c’est quasi toujours les mêmes codes derrière : le language php qui génère dynamiquement de l’html qui sera interprété par le navigateur. Ici, à part le forum, tout est codé à partir de rien. Il n’y a pas de cms (système de gestion de contenu) derrière. WordPress est un cms par exemple. On peut faire un blog mais aussi un site entier avec (même sans toucher aucune ligne de code, c’est la « beauté » de ce système).

Pour les admins/modérateurs/correcteurs, on peut considérer que ça fonctionne comme un forumactif. Ils ne sont jamais dans le code.
C’est toujours la même chose, ils ont des formulaires personnalisés pour ajouter/éditer, des boutons pour supprimer dft009 Le formulaire d’édition d’un livre ressemble comme une goutte d’eau à celui d’ajout dft009
Sinon, on a des formulaires pour fusionner des éditions de livres, ajouter/supprimer un livre à une saga ou encore modérer les chroniques proposées par les membres.
Pour les admins, il y a aussi une très grosse zone Partenariats pour gérer toutes les demandes par livre. Le système classe automatiquement les gens selon le nombre de partes en cours, partes finis et la date de postulation.

 

Question : Une question me trotte depuis très longtemps ; pourquoi, tout comme pour les derniers livres ajoutés, nous ne pouvons pas directement voir les derniers ajouts à la zone troc ? Certes, nous pouvons les pouvons les voir lorsque nous allons à la bibliomania, mais lorsque nous cliquons sur la zone troc, nous retrouvons toute la liste à partir du chiffre zéro. Est-ce parce que c’est moins  » important  » que les nouveautés livresques, ou c’est parce qu’il y a également un topic  » Troc de livres entres membres « . Oui mais, certaines personnes, même si ils ont des livres en troc, ne l’informe pas dans le topic.

Réponse de notre webmaster, Baba :

C’est pas une volonté de cacher, c’est qu’on y a pas pensé. Ca pourrait être fait dft009