Ce livre a été lu dans le cadre d’un partenariat avec les éditions Le cherche midi.
Merci à elles de m’avoir permis de le découvrir et merci à l’attachée de presse pour son petit mot joint au livre.
Présentation de l’éditeur :
An 1000. Aix-la-Chapelle. Othon III, roi de Germanie, pénètre dans le tombeau de Charlemagne, inviolé depuis 814. Parmi de nombreuses reliques, il y découvre un étrange manuscrit, couvert de symboles inconnus. 1935. Allemagne. Himmler crée un groupe spécial d’archéologues et d’ésotéristes chargés de se pencher sur les racines de la race allemande, des Aryens aux chevaliers teutoniques. Dans la sépulture d’un proche de Charlemagne, ceux-ci trouvent un manuscrit montrant les mêmes symboles que ceux découverts neuf siècles plus tôt à Aix-la-Chapelle. 2008. Afin d’élucider la mort mystérieuse de son père, Cotton Malone va devoir déchiffrer les énigmes entourant ces deux manuscrits. Du coeur de l’Allemagne aux glaces de l’Antarctique, en passant par un monastère de la région de Toulouse, c’est un puzzle passionnant qui l’attend, à travers l’histoire, les cultures et les civilisations. Fourmillant de détails passionnants, depuis le formidable bouleversement du savoir à l’époque de Charlemagne jusqu’aux expéditions nazies au pôle Sud et au Tibet, ce roman exceptionnel ensorcelle le lecteur de la première à la dernière ligne.
Mon avis :
J’ai choisi ce livre, car la présentation de l’éditeur et la couverture me faisaient envie. Je me voyais déjà en train de découvrir une enquête extraordinaire sur fond historico-ésotérique et… grosse déception.
L’enquête se traîne, la lecture est difficile (en 15 jours je n’ai lu que 146 des 661 pages).
Dès que j’ouvre le livre, je m’endors… Je me force à lire un ou deux chapitres (heureusement très courts), mais je sombre rapidement…
Beaucoup de personnages dont j’ai le plus grand mal à me souvenir d’une page à l’autre (j’ai envisagé de me faire une « feuille de pompe » pour m’en souvenir d’un jour sur l’autre), une intrigue qui peine à avancer, beaucoup de points de vue différents ce qui ajoute une difficulté supplémentaire, des retours en arrière, bref, une lecture qui devient difficile.
Je me suis résignée à ne pas aller plus loin. Je n’aime pas arrêter les livres en cours de lecture, mais là, vraiment, je n’en retire aucun plaisir, au contraire.
Ironie du sort, lorsque l’on ouvre ce livre, on commence par les remerciements avec ce paragraphe « Enfin, je dédie ce livre à mon agent, Pam Ahearn, et mon éditeur Mark Tavarni. En 1995, Pam m’a choisi comme client, et dut endurer quatre-vingt-cinq rejets au long de sept ans avant de nous trouver une maison d’édition. Quelle patience. (…) »
Si les maisons d’édition ont eu autant de mal que moi à entrer dans le roman, ça explique les si nombreux refus.
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J’ai écrit cette critique il y a une semaine. Depuis, comme j’avais mauvaise conscience de ne pas finir un livre qu’on avait eu la gentillesse de me confier, je l’ai repris, en me faisant une antisèche avec les personnages, leurs fonctions, leurs rôles entre eux, mais… rien à faire… la lecture n’en est pas plus facile. Je m’englue dans l’intrigue, dans les intrigues, et le sommeil se fait toujours autant sentir au bout de quelques lignes. Cette fois-ci, c’est sur, je referme le livre sans l’avoir terminé.
Un grand merci malgré tout à Livraddict et à la maison d’édition qui ont permis ce partenariat (même s’il me laisse un goût d’inachevé) et je présente mes plus plates excuse auprès des mêmes pour ne pas être arrivée à remplir ma « mission ».